jeudi 30 septembre 2010

Coin !

Suite à un oubli de ma part, je me suis retrouvé lundi dernier avec ma palette graphique dans le ter qui m'emmenait au travail. Puisque je l'avais sous la main, autant l'utiliser. Voici donc ce qu'en vingt minutes dans un train bringuebalant j'ai pu faire.

Si toi aussi tu penses qu'il manque une patte à ce canard, fait "coin" en commentaire !

Jibé.

samedi 25 septembre 2010

Nénuphars

En m'amusant avec mon nouvel appareil photo, j'ai pris, presque par hasard, ces nénuphars. Le temps était gris. J'ai commencé ce travail sur un écran de bonne qualité et l'ai terminé sur un écran n'ayant aucun contraste. J'aurai certes pu tenter d'améliorer les contrastes après coup, mais j'ai préféré vous le montrer tel qu'il est sorti de mes mains.



Cliquez pour voire en taille réelle.


Jibé.

mercredi 15 septembre 2010

Aube à Champagné

Aube à Champagné est une oeuvre qui devrait rassurer tous ceux et celles qui se sont inquiété(e)s à mon propos suite à l'auto-portrait bleu et vert. Si j'ai pu en effrayer quelques une/unes, je considère qu'au moins, c'est sans doute que j'aurai réussi à peindre le trouble qui m'occupait alors. Et c'était, je pense, le plus important.

Pourtant, quel que soit le niveau du travail fournit, quelque chose me laisse insatisfait : Nous avons beau être au 21ième siècle, je ne parviens pas à accorder au travail numérique la même noblesse qu'une oeuvre produite sur papier ou sur toile. A mes yeux, seule une peinture à l'huile est noble, vibrante, digne d'intérêt. Est-ce la jeunesse du médium informatique qui me fait douter ? Je voudrai tellement y croire. Et vous, qu'en pensez-vous ?




Jibé.


vendredi 10 septembre 2010

Auto-portrait bleu et vert









L'art de positiver.
Suite à un gros malaise, une sensation de raté. L'un de ces maux que le divertissement de la télé ne suffit pas à effacer complètement. Que faire de ces états d'âme qui m'empêcheront de dormir de toute façon ?
Et bien pourquoi ne pas les jeter sur une toile ? Allez hop, une rapide photo prise du bout du bras et je me lance dans le travail. Voici donc ce qui me torturait le ventre et qui en deux heures en est sorti.

Jibe.