mercredi 15 octobre 2008

Drawing gum

Voici le même crayonné un peu plus détaillé. J'ai essayé ce matin de le poursuivre dans le train, mais ce n'est vraiment pas facile. D'une part, le train bouge et d'autre part, on est mal installé. Par contre, la classe devant les collègues ;)

Ici, le personnage (mon frangin) est plus dessiné, moins brouillon. Comme le reste de l'image d'ailleurs. Le croquis en restera à ce stade. Pour l'étape suivante, j'ai décidé contrairement aux coquelicots de ne pas repasser les contours au bic. J'ai donc tout effacé ! Oui, vous avez bien lu. Et c'est assez stressant de tout effacer. En effet, il faut donner au poignet la juste pression sur la gomme pour qu'on ne voit plus trop les traits mais qu'un œil de près devine encore les tracés. Et oui, le but n'est pas d'illustrer le concept de l'œuvre éphémère ! lol. Il ne s'agit pas d'un mandala de sable tibétain.





Etape suivante, préparer le terrain. En effet, il y a deux zones particulièrement détaillées qu'il faut protéger. Les éoliennes du fond ne survivraient pas au lavis du ciel sans protection. Ensuite le personnage se découpe sur un fond de mer houleuse. Sans protection, il pourrait lui aussi pâtir d'un coup de pinceau trop vif. J'expérimente donc l'utilisation du drawing gum pour protéger ces deux zones. La mauvaise qualité de l'image illustrant ces deux protections n'est pas excellente car le drawing gum n'était pas encore sec et j'ai du mettre une cale pour protéger mon scanner.


Jibé.

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